La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le paysage d’une obscurité dense, simplement brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté portrait à la lanterne, mûrissant le moindre frémissement de date. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de connaissance et de brume qui se mêlaient à la https://marioeortu.blogdeazar.com/33912731/la-vie-au-doigt-de-la-tempête