Arthur resta figé sur la scène, le regard explicite sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, aucune sorte de mouvement, zéro brise relativement majeure pour biaiser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer seul, comme par exemple s’il répondait à https://sergiokudls.bloggazzo.com/32866536/la-rengaine-des-absents