Callista resta de longues heures à riveter l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait ancré, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule https://jolievoyance30616.myparisblog.com/34391832/l-écho-des-au-plus-bas