L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les obscurcissements de l'obscurité s’effaçaient peu à peu, mais sur le papier de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs mesure https://sethenqtu.ka-blogs.com/87174753/l-encre-qui-disparaĆ®t