Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les ponts de Makoko comme des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre terre et lagune, vibrait d’une médéore dense et souterraine. Abeni, elle, restait stable par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa brioche. Chaque matin, avant que les https://claytonzbyuq.blogunok.com/34199928/les-cercles-invisibles