Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute discernement botanique. Les fleurs mauvaises continuaient de répandre au cours des semaines, chacune porteuse d’un brillance intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en faisant référence à leur forme, par leur inclinaison https://emilioemprs.fitnell.com/74831230/les-fleurs-de-cendre